L’heure du bilan a sonné. Cinq ans après l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, on compte un million de chômeurs en plus.
L’industrie a encore perdu 350 000 emplois. La pauvreté touche 9 millions de nos concitoyens, et le gouvernement a offert 75 milliards de cadeaux fiscaux aux plus riches.
La dette publique a augmenté de 612 milliards. Le déficit commercial a doublé, en augmentation de 36 milliards.
Le gouvernement a même supprimé 80 000 postes d’enseignants, mettant en danger d’avenir notre jeunesse. Comment Nicolas Sarkozy peut-il défendre avec autant d’aplomb ?
Ces choix n’ont rien à voir avec la crise. La crise a été alimentée par ces choix politiques obstinément ultralibéraux.
Elle s’aggravera encore avec les traités européens du MES.